mardi 29 janvier 2008
lundi 28 janvier 2008
En bref...
"Astérix aux jeux Olympiques": plus grosse sortie en France avec 1.074 salles
PARIS, 28 jan 2008 (AFP) - Doté d'un énorme budget de 78 millions d'euros, "Astérix aux jeux Olympiques" de Thomas Langmann et Frédéric Forestier battra mercredi le record de la sortie en salles la plus massive en France, en s'adjugeant 1.074 écrans, a indiqué CBO Box-Office lundi.
Les films de la semaine: la guerre en Irak et un petit Gaulois moustachu
PARIS (AFP) - Nul ne peut l'ignorer, un petit Gaulois moustachu est de retour dans près d'un millier de salles obscures du pays cette semaine, mais on peut aussi découvrir une excellente fiction britannique qui relate la pire bavure de l'armée américaine en Irak, "Battle for Haditha".
Dans un marché sinistré, les producteurs de musique espèrent une embellie
CANNES (AFP) - 2007 a été une nouvelle année très difficile pour le marché de la musique en France avec une baisse de 17,4% en valeur, mais les producteurs de disques veulent croire qu'une embellie est possible pour 2008 et espèrent un basculement des consommateurs vers l'offre légale en ligne.
Série de livres, dont ceux de Kundera, bannis de la foire du Livre du Caire
LE CAIRE (AFP) - Une série de livres, dont ceux du Franco-Tchèque Milan Kundera ou du Marocain Mohamed Choukri, ont été interdits d'entrée en Egypte à l'occasion de la Foire du Livre du Caire 2008, a appris lundi l'AFP auprès des éditeurs.
La brique Lego vit toujours, 50 ans après, malgré les modes et les crises
COPENHAGUE (AFP) - La brique en plastique Lego, née au Danemark et empilée par les enfants du monde entier, a soufflé lundi ses cinquante bougies, résistant à l'épreuve du temps, des jeux électroniques et des crises financières.
Polnareff en tête des chanteurs les mieux payés en 2007
PARIS (AFP) - Michel Polnareff est le chanteur qui aurait touché le plus d'argent en France en 2007, avec 5,71 millions d'euros, devant Johnny Hallyday (3,02 millions) et Yannick Noah (2,30 millions), selon le classement annuel établi par le Figaro dans son édition de lundi.
mercredi 16 janvier 2008
Le message subliminale
1/ En 1988, François Mitterrand est réélu à la présidence. Mais le "Quotidien de Paris" lui reproche d'avoir bénéficié d'images subliminales contenues dans le générique du journal d'Antenne 2.
Cependant, le procès intenté pour "manipulation électorale" a été perdu, car l'image durait plus d'un vingt-cinquième de seconde, ce qui exclut la qualification de subliminale.
2/ Lors des élections américaines de 2000, des personnes ont découvert par hasard une image subliminale glissée dans le spot publicitaire de Georges W. Bush.
Cette image subliminale est en fait un message subliminale de type formelle : une insulte "rats" (= "ordure" en français) alors que le spot est en train de faire référence au concurrent, Al Gore. Il s'avèrerait, selon les créateurs du spot, d'une erreur technique. Quoiqu'il en soit, selon une étude mené par Joel Weinberger, de l'université Adelphi (Etats-Unis), ce spot était susceptible d'augmenter les jugements négatifs des électeurs à l'encontre du candidat visé
samedi 12 janvier 2008
lundi 7 janvier 2008
Low fi : nouvel mode...
Si l'expression Lo-fi touche en premier lieu à la qualité sonore de l'enregistrement (low-fidelity - en opposition à haute fidélité ou hi-fi), celle-ci a pris un sens nouveau au début des années 1990 pour définir l'émergence d'un genre musical en soi. Largement inspirés de la sonorité rock garage des groupes psychédéliques des années 1960 (The Seeds, 13th Floor Elevator, The Kingsmen) et des vagues punk (Television, Patti Smith, Sex Pistols), noise music (Sonic Youth, Boredoms), Neil Young et college rock (R.E.M., Camper Van Beethoven, Beat Happening) des années 70 et 80.
Les groupes se réclamant du Lo-Fi se sont rapidement imposés en tant qu'instigateurs d'un des mouvements majeurs de la scène indépendante américaine de l'époque.
Fortement imprégnées de sonorités expérimentales souvent dissonantes et cacophoniques, ou simplement induites par la piètre qualité des enregistrements. D'où l'utilisation du terme Lo-Fi.
Ce courant alternatif fut souvent défini par rapport au phénomène international que fut le grunge. En fait, suite à l'émergence populaire de ce qu'on appellerait ensuite « musique alternative », que le grunge contribua en majeure partie à populariser, le Lo-Fi devient malgré lui le courant underground le plus important des États-Unis (et du Royaume-Uni) en s'opposant au mercantilisme de l'industrie du disque.
Les groupes se réclamant du Lo-Fi se sont rapidement imposés en tant qu'instigateurs d'un des mouvements majeurs de la scène indépendante américaine de l'époque.
Fortement imprégnées de sonorités expérimentales souvent dissonantes et cacophoniques, ou simplement induites par la piètre qualité des enregistrements. D'où l'utilisation du terme Lo-Fi.
Ce courant alternatif fut souvent défini par rapport au phénomène international que fut le grunge. En fait, suite à l'émergence populaire de ce qu'on appellerait ensuite « musique alternative », que le grunge contribua en majeure partie à populariser, le Lo-Fi devient malgré lui le courant underground le plus important des États-Unis (et du Royaume-Uni) en s'opposant au mercantilisme de l'industrie du disque.
BuzzParadise
A l’occasion de l’émission d’Isabelle Giordano, "Service Public" sur France Inter, le 7 janvier 2008, Grégory Pouy, directeur général de BuzzParadise, a participé à la discussion "Internet : le 5ème pouvoir du consommateur".
Etaient également invités sur le plateau : Erwan Seznec, journaliste à "Que choisir" Nadia, bloggeuse plus connue sous son pseudonyme Nizzagirl
Le reportage
Il y a quelques temps, c’était la presse féminine qui faisait et défaisait les modes. Aujourd’hui, les blogs commencent à prendre le relais. Les consommateurs trouvent les blogs plus crédibles qu’un journal entièrement financé par les marques. Les marques l’ont d’ailleurs bien compris. Elles se rapprochent aujourd’hui des bloggeuses influentes. J’en ai rencontré une, Géraldine Dormoy, son blog, café mode, reçoit plus de 3000 visites par jour.
Etaient également invités sur le plateau : Erwan Seznec, journaliste à "Que choisir" Nadia, bloggeuse plus connue sous son pseudonyme Nizzagirl
Le reportage
Il y a quelques temps, c’était la presse féminine qui faisait et défaisait les modes. Aujourd’hui, les blogs commencent à prendre le relais. Les consommateurs trouvent les blogs plus crédibles qu’un journal entièrement financé par les marques. Les marques l’ont d’ailleurs bien compris. Elles se rapprochent aujourd’hui des bloggeuses influentes. J’en ai rencontré une, Géraldine Dormoy, son blog, café mode, reçoit plus de 3000 visites par jour.
Inscription à :
Articles (Atom)